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Addiction aux jeux vidéo, mythe ou réalité ?

Addiction aux jeux vidéo, mythe ou réalité ?

L’addiction aux jeux vidéo est un problème de santé mentale qui peut affecter des personnes de tous âges et de toutes cultures. Cette dépendance se caractérise par une utilisation excessive et incontrôlable de jeux vidéo, qui peut entraîner des conséquences négatives pour la vie quotidienne de la personne.

Qu’appelle-t-on une addiction ?

Une addiction se réfère à une dépendance physique ou psychologique à une substance, une activité ou un comportement, qui entraîne une incapacité à contrôler ou à arrêter cette activité, malgré les conséquences négatives pour la santé et le bien-être de l’individu. Les addictions peuvent inclure des substances comme l’alcool, les drogues et la nicotine, ainsi que des comportements tels que le jeu, les achats compulsifs, la pornographie ou l’utilisation excessive d’Internet et des médias sociaux. Les addictions sont considérées comme un trouble de santé mentale et peuvent nécessiter une intervention thérapeutique pour aider l’individu à surmonter sa dépendance et à retrouver une vie saine et équilibrée.

Concernant les Gamers, les symptômes de l’addiction aux jeux vidéo peuvent inclure une perte d’intérêt pour les activités sociales, professionnelles et familiales, des problèmes de sommeil, de la fatigue, de l’irritabilité et une diminution de la performance scolaire ou professionnelle. Les personnes atteintes d’addiction aux jeux vidéo peuvent également éprouver des sentiments de culpabilité, de honte et d’anxiété, ainsi que des pensées suicidaires. Avoir un sommeil régulier et réparateur permet par exemple plus facilement de décrocher d’une éventuelle dépendance à un jeu vidéo, c’est en cela notamment que les Laboratoires Skilloot ont lancé la gomme AFK, qui permet de faire redescendre la tension accumulée sur plusieurs heures de parties endiablées, pour atteindre une relaxation telle que le sommeil pourra être accessible beaucoup plus facilement.

Jouer aux jeux videos ne rend pas addictif !

Il est important de comprendre que les jeux vidéo ne sont pas intrinsèquement nocifs et que la majorité des joueurs ne développent pas d’addiction. Cependant, certains facteurs peuvent augmenter le risque d’addiction, notamment des problèmes de santé mentale sous-jacents tels que la dépression, l’anxiété et le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH), un manque de soutien social et familial, et une utilisation excessive des jeux vidéo pour faire face au stress ou à d’autres problèmes émotionnels.

Le traitement de l’addiction aux jeux vidéo peut inclure une thérapie comportementale, qui aide les personnes à développer des compétences pour gérer leur utilisation des jeux vidéo, ainsi qu’une thérapie individuelle ou de groupe pour traiter les problèmes de santé mentale sous-jacents. Il est également important de soutenir les personnes atteintes d’addiction aux jeux vidéo en les encourageant à rechercher un soutien social et familial, à pratiquer des activités physiques et à explorer d’autres intérêts et passe-temps.

Nous sommes à une époque par exemple où il est fréquent que les enfants passent de nombreuses heures par jour à jouer à des jeux vidéo. Les parents peuvent se sentir préoccupés par cette pratique et se demander s’il est raisonnable ou s’il peut avoir des conséquences négatives sur la santé et le bien-être de leur enfant. Bien qu’il n’y ait pas de réponse universelle, plusieurs facteurs peuvent aider à évaluer si une quantité de temps passée à jouer aux jeux vidéo est préoccupante ou non.Tout d’abord, il est important de considérer l’âge de l’enfant. Les enfants plus jeunes ont des besoins différents de ceux des adolescents. Les experts recommandent que les enfants de 2 à 5 ans ne passent pas plus d’une heure par jour devant des écrans, tandis que les enfants de 6 à 12 ans devraient limiter leur temps de jeu à 2 heures par jour. Les adolescents plus âgés ont des besoins différents, mais il est important de s’assurer que leur temps de jeu ne perturbe pas leurs responsabilités scolaires ou sociales. Il est également important de tenir compte du contenu des jeux vidéo auxquels l’enfant joue. Certains jeux peuvent contenir des éléments violents, sexuels ou inappropriés pour l’âge de l’enfant. Les parents doivent être conscients de la classification des jeux vidéo et des recommandations d’âge pour chaque jeu et discuter avec leur enfant des limites appropriées. Enfin, il est important de prendre en compte l’impact des jeux vidéo sur la santé et le bien-être de l’enfant. Passer de nombreuses heures par jour devant un écran peut avoir des effets négatifs sur la santé physique et émotionnelle de l’enfant, notamment en réduisant le temps d’activité physique, en affectant le sommeil et en augmentant le risque de problèmes de santé mentale tels que la dépression et l’anxiété. Faut il s’inquiéter si son enfant joue plusieurs heures à Animal Crossing ? Evidemment non ! A l’inverse, si une petite fille de 8 ans passe ces après-midi à jouer à God of War, sans passer du temps avec sa famille ou ses amis, là, effectivement, on pourra, et on devra même se poser des questions.

Y a-t-il une durée maximale au-delà de laquelle on doit se considérer comme dépendant des jeux vidéo ? Il n’y a pas de durée raisonnable universelle pour jouer aux jeux vidéo car cela dépend de nombreux facteurs individuels tels que l’âge, les responsabilités professionnelles ou scolaires, l’état de santé, le style de vie et les préférences personnelles. Cependant, certains experts recommandent de limiter le temps de jeu à deux heures par jour pour les enfants et les adolescents, tandis que pour les adultes, il est important de veiller à ce que le temps passé à jouer aux jeux vidéo ne perturbe pas leurs responsabilités professionnelles ou sociales et ne compromette pas leur bien-être physique et émotionnel. En fin de compte, il est important de pratiquer une utilisation équilibrée et saine des jeux vidéo, en tenant compte de ses propres besoins et obligations personnelles, et en prenant régulièrement des pauses pour se reposer, se détendre et se ressourcer. Accessoirement, sur un nouveau jeu, on aura surtout souvent tendance à jouer plus et plus longtemps, ce qui est tout à fait naturel en raison de l’attrait de la nouveauté. On ne peut s’étonner par exemple de jouer des heures à la nouvelle version de Fifa qui sort souvent chaque année en septembre, tout en sachant qu’on pourra possiblement y jouer moins longtemps à partir des mois de mai ou juin. En conclusion, l’addiction aux jeux vidéo est un problème de santé mentale sérieux qui peut avoir des conséquences négatives sur la vie quotidienne des personnes touchées. Il est important de comprendre les facteurs qui contribuent à cette dépendance et de chercher des traitements appropriés pour aider les personnes à retrouver un équilibre sain dans leur utilisation des jeux vidéo. Pour autant, jouer plusieurs heures à son jeu favori le week end entre amis, ne doit évidemment pas être considéré comme une addiction. C’est la récurrence, et le monopole de la console ou du PC du gamer qui pourra éventuellement alerter sur une possible addiction aux jeux vidéo.


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